
lundi 29 juin 2009
vendredi 26 juin 2009
Projet kunique
Naissance de l'individu par invention du père (corps social).
Nous devons créer le père avant qu'il ne nous tue.
Le corps social autonome: Saturne de Goya en cyborg. Post-humanité, trans-humanité, cynisme.
Nous devons créer le père pour naître.
Le fils de lui-même doit accoucher de ses ascendants. Le kunisme est une rétro-biologie.
Complètement fêlé! Mais, vrai!
Nous devons créer le père avant qu'il ne nous tue.
Le corps social autonome: Saturne de Goya en cyborg. Post-humanité, trans-humanité, cynisme.
Nous devons créer le père pour naître.
Le fils de lui-même doit accoucher de ses ascendants. Le kunisme est une rétro-biologie.
Complètement fêlé! Mais, vrai!
jeudi 25 juin 2009
Le kunisme comme révolution
Au-delà des chiffres, des principes :
1- La richesse privée n’existe pas. Il n’y a de richesse que collective. La richesse privée est une création sociale, une convention. Elle doit être accepter, réglementer, limiter ou non, par contrat démocratique. Mesurons bien la portée révolutionnaire de ce point de vue à l'apparence si simple.
2- L’individu n’existe pas. Il est fondamentalement un projet. Lui aussi, en quelque manière, est une création sociale. Cela signifie que le corps social lui donne naissance ou l’avorte, et lui donne naissance comme ceci plutôt que comme cela, selon la ligne générale originellement adoptée. Sachant (paradoxe) que le corps individuel et le corps social ne sont pas séparés.
3- La société n’existe pas. Comme l’individu et la richesse privée, elle est (paradoxe) une création sociale. Ce qui existe, c’est le corps social, l’organisme techno-économico-biologique sous-jacent dont la société n’est que l’expression administrative.
1- La richesse privée n’existe pas. Il n’y a de richesse que collective. La richesse privée est une création sociale, une convention. Elle doit être accepter, réglementer, limiter ou non, par contrat démocratique. Mesurons bien la portée révolutionnaire de ce point de vue à l'apparence si simple.
2- L’individu n’existe pas. Il est fondamentalement un projet. Lui aussi, en quelque manière, est une création sociale. Cela signifie que le corps social lui donne naissance ou l’avorte, et lui donne naissance comme ceci plutôt que comme cela, selon la ligne générale originellement adoptée. Sachant (paradoxe) que le corps individuel et le corps social ne sont pas séparés.
3- La société n’existe pas. Comme l’individu et la richesse privée, elle est (paradoxe) une création sociale. Ce qui existe, c’est le corps social, l’organisme techno-économico-biologique sous-jacent dont la société n’est que l’expression administrative.
4- Mais l’individu, comme création du corps social toujours en projet, est cependant, et paradoxalement, l’instance décisive, car seule réflexive. Nous pourrions dire que la conscience, en tant que création sociale toujours inachevée, est seule capable de ressaisir le corps social pour en faire l’outil de sa naissance.
Bizarre, non ? Si ça, ce n'est pas de l'action potentielle!...
mercredi 24 juin 2009
mardi 23 juin 2009
dimanche 21 juin 2009
Faire corps
Faire corps. Faire un corps de plusieurs corps. Communauté perdue.
Perdre la communauté, c’est perdre le sens, perdre le projet, se perdre soi-même. Se perdre soi-même comme projet. Perdre la communauté, c’est tomber dans la marchandise. La marchandise vous attend à l’extérieur de la communauté, dessous l’arbre de la communauté. Vous ramasse comme un fruit vert tombé trop tôt. Vous met dans son panier. Vous met au frais dans son frigo.
Perdre la communauté, c’est perdre le sens, perdre le projet, se perdre soi-même. Se perdre soi-même comme projet. Perdre la communauté, c’est tomber dans la marchandise. La marchandise vous attend à l’extérieur de la communauté, dessous l’arbre de la communauté. Vous ramasse comme un fruit vert tombé trop tôt. Vous met dans son panier. Vous met au frais dans son frigo.
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